Comment se déroulaient les choses avant avec votre syndic professionnel ?
On a vite découvert, quand on a regardé de près, avec mon épouse, la gestion de l’ASL, que 80% des frais étaient des frais de syndic, et 20% des frais de fonctionnement. Comme tous les syndics, il avait de plus gros clients à gérer.
Comment s’est passée la transition ?
J’ai eu la chance d’avoir affaire à deux ou trois personnes, plus charmantes les unes que les autres, qui m’ont aidé à convaincre les autres que notre intérêt était de passer chez Matera. Notre fonds de roulement avait été consommé parce que le syndic faisait un mauvais recouvrement des gens qui tardaient à payer. Le bureau a été très sensible au fait qu’une surveillance au jour le jour nous aiderait à mieux tenir notre trésorerie.
Comment ça se passe maintenant avec Matera ?
Le syndic nous facturait environ 6 000 € annuels. Avec Matera, on est à 2 600€ annuels. Ce budget, on le consacre à la taille des haies qu’on faisait de façon épisodique. Notre résidence va donc être plus jolie car entretenue une ou deux fois par an au lieu d’être entretenue difficilement tous les trois ou quatre ans avant. Pour gérer notre ASL, avec Matera, on passe une heure sur la plateforme par mois. C’est attractif, c’est bien conçu, et surtout on est suivi. C’est ça qui compte. Beaucoup de gens vous vendent beaucoup de choses mais avec Matera, on est suivi.