Le marketing de réseau comme base du modèle d’IAD France
Pour débuter ce nouvel épisode, Olivier Descamps nous explique comment fonctionne le modèle bien particulier d’IAD, qui est aujourd’hui sa force : le marketing de réseau.
Après avoir levé plus de 300 millions d’euros en 2021, lancé plusieurs pays (ils sont présents dans 6 pays), IAD compte aujourd’hui plus de 19 000 mandataires immobiliers.
Dans cet épisode, il est question de ce fameux modèle du marketing de réseau et de la situation actuelle des mandataires immobiliers. Enfin, Olivier Descamps nous explique l’évolution de la relation entre IAD et les autres acteurs traditionnels : d’abord conflictuels et désormais plus apaisés.
L’état du marché immobilier
La période de la crise sanitaire a été difficile à vivre pour beaucoup d’acteurs de l’immobilier, mais l’IAD a su garder le cap en maintenant une croissance stable. Selon Olivier, cela réside dans le fait qu’IAD a un modèle bien particulier, qui ne nécessite pas d’agence physique.
La question de la crise du logement est également revenue au cours de l’épisode, tout comme la rigidité des acteurs de l’écosystème immobilier.
“On est revenus sur un nombre de prêts accordés identique à 2009. La crise est donc plus autour du financement qu’autour de l’habitat et du logement.”
Au cours de cet épisode, Raphaël Di Meglio interpelle également Olivier sur un constat : 75% des français souhaitent vendre en direct, mais en réalité seulement 20% d’entre eux y arrivent réellement. Olivier explique ce qui, selon lui, justifie un tel écart.
Enfin, Olivier Descamps nous dévoile les combats pour lesquels se bat le groupe IAD : pouvoir emprunter sur 30 ans et que le reste à vivre soit assoupli.
“Aujourd’hui, le combat que l'on mène avec notre syndicat, la maison des mandataires et différents opérateurs c’est d’essayer de se dire : comment libérer l’accès aux prêts ? Aujourd’hui, un couple qui paie un loyer de 600€ depuis maintenant 4 ou 5 ans avec 2 salaires ne peut pas avoir accès à un financement pour devenir propriétaire parce qu’il dépasse la durée maximale d’endettement.”