En France, depuis plus de 50 ans maintenant, la présence d'un syndic de copropriété est obligatoire au sein des logements partagés. En effet, la gestion d’une copropriété requiert expertise et précision ; c’est pourquoi, il est notamment crucial de choisir un bon syndic. L’un des facteurs pour élire un nouveau syndic est sans doute son prix. Que vous optiez pour un syndic professionnel ou que vous envisagiez un modèle plus autonome comme le syndic bénévole, comprendre leurs fonctionnements est essentiel pour une gestion efficace et économique de votre copropriété. Quel est le coût moyen d’un syndic de copropriété ? Quels sont les différentes variables à avoir en tête ? Leurs missions différent-elles selon les modèles ? On vous explique tout dans cet article !
Quel est le coût moyen d’un syndic de copropriété ?
Le coût moyen d'un syndic de copropriété varie en fonction de nombreux facteurs, tels que la taille de l’immeuble ou encore la complexité de la gestion. En moyenne, les honoraires annuels d'un syndic professionnel oscillent entre 150 et 200 euros par lot.
Pourquoi est-ce important de comprendre le coût du syndic ?
Le coût d’un syndic peut rapidement augmenter. En effet, les services additionnels ou encore les situations exceptionnelles nécessitant une gestion plus intensives (ex : convocation d’une assemblée générale extraordinaire) ne sont pas rares. Comprendre ces coûts est crucial pour anticiper les dépenses et assurer une gestion efficace de la copropriété.
Choisir le bon syndic est essentiel pour une gestion efficiente et économique de votre copropriété. La structure de coût d’un syndic se décompose de la façon suivante :
Impact de la loi ALUR sur la rémunération du syndic
La promulgation de la loi ALUR (Accès au Logement et un Urbanisme Rénové) en 2014 a apporté des modifications significatives dans la rémunération des syndics de copropriété, notamment pour les rendre plus transparentes.
En effet, cette loi a imposé l'obligation d'un contrat de syndic type, qui doit détailler clairement toutes les prestations incluses dans le forfait de base ainsi que les tarifs des prestations supplémentaires. Ce cadre légal vise à prévenir les abus, tout en s’assurant que les copropriétaires comprennent exactement pour quels services ils paient et à quel coût.
De plus, la loi ALUR limite certaines pratiques, comme la facturation excessive pour des services non prévus initialement ou la révision des honoraires sans vote en assemblée générale. Ces régulations assurent une plus grande transparence dans la gestion des copropriétés et permettent aux copropriétaires de mieux contrôler leurs charges.
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